Migration

Je migre sur :
http://jeudi12octobre.over-blog.com/
Pour le moment je reprends juste les articles d'ici
mais je compte en réécrire par la suite =)

C'est toujours la même chose! *
Au début c'est un jeu, chacun cherche à séduire l'autre. A petit coup de taquinerie on entre dans le manège.
Au début on a le tournis et on veut que ça tourne et tourne encore et toujours plus. Dans le ventre il y a cette sensation qui s'embrase. Le feu monte petit à petit. Galvanisé par cette nouvelle attraction, on se sent pousser des ailes, on en devient fort, on plait! Le feu semble s'enrichir à coup de mots doux! Oh oui, on pense qu'il s'amplifie à coup de SES mots espiègles ! Il se développe , je l'attise, je sens qu'il s'anime. Comme exaltée il est en moi, et je crois être en lui. Le rythme s'accelere, le manège tourne plus vite, le battement du coeur s'agite, tambourine, il s'avive. Dans la poitrine il tape si fort qu'on en vient même a penser qu'il transpercera la chair. La pression m'en coupe le souffle, l'adrénaline en est à son plus haut point...


Et c'est le vide, plus rien, ce fut court mais si fort !

Aussi bien que je me le suis imaginé, il s'est lassé de moi. C'est la chute ! Comme au grand huit il y a la monté puis la descente. Les pieds sur terre on s'entête à vouloir s'exalter de nouveau, on garde espoir, on attend. On a mal au coeur, il se déchire, se morcelle et devient cendre. C'est finit !

pix *

Bonheur

Peur de l'avenir, je ne sais pas pour quoi je suis faite, je ne sais pas ce que j'aime... Il n'y pas de futur, juste l'envie que cette comédie s'arrête. Mon amie google m'aide à chercher des moyens pour trouver la paix, mais rien n'y fait. Je ne suis pas forte et je n'ai pas le courage, j'ai peur malgré tout de blesser. Mon esprit est pathétique, je le sais. Je n'ai jamais aimé mon histoire et mon auteur maudit visiblement les comptes de fées ou ne sait tout simplement pas comment faire pour rendre un chapitre joli. De plus en plus d'angoisse... de moins en moins l'envie !



Pix : -> *

Je me sens si faible....

[ Comment faire pour devenir fort ? ]

la -> *

....

Ça commence par une sonnerie de réveil assourdissante, il est 5h30. Dix minutes plus tard ne mettant pas réveillé cette insupportable sonnerie retentit à nouveau. Je me lève, je traine les pieds, totalement démotivée je me force à m'habiller, me coiffer et parfois même me maquiller. Je sors, le train, le bus, j'arrive en cours, la tête dans la lune je n'arrive pas à suivre, j'essaie mais rien n'y fait je suis ailleurs. C'est comme si rien ne me concerne, je suis dans une cloque vide, c'est le néant. Je me retire dans cette bulle hermétique. Peu à peu, je m'isole, je ne veux plus parler, je m'éloigne de tout et tout le monde. Mon corps n'est plus qu'une enveloppe dépouillé de tout mots.
Bientôt je n'existerai plus.

ici -> tknk

"L'enfer c'est les autres" ?

L'enfer c'est de savoir qu'on est pris pour une conne alors qu'on les aiment !

Rouge bonbon

" Qu'est ce que je fiche ?"

"Faiblesse de tout accepter
Peur de faire souffrir, de blesser
Qu'est ce que je fiche ?"

"Faire des choix nets, savoir trancher
Force d'avancer
(Ah si seulement j'en étais capable!)"

"Je suis faible, molasse,
une vraie bécasse!

Jamais je n'aurais imaginé
avoir si mal en pleurant.
Et jamais je n'aurais pensé
souffrir des larmes des autres
encore plus que les miennes.

"Malgres ce que je vis

...Malgres ce que j'ai vécu
je n'ai jamais vraiment su
la douleur des larmes,
si aiguë,
au point de rendre fou.

Et quand je l'ai sue je me suis tue"

"Je voudrais tant savoir comment
être quelqu'un de sage
Mais qui l'est vraiment?

Je me trompe tout le temps"

"Hiver, dimanche, fin de journée,

soudain je me rend compte que le PQ vient a manquer.

De retour à la Réalité
lunettes noires pour cacher
mes yeux gonfles d'avoir tant pleuré,
je file à la supérette à pied."

Pix: Amours blessantes *

魚喃 キリコ, Nananan Kiriko ROUGE BONBON <3

Orange and gray (8)

Une odeur fétide s'empare de la chambre, elle s'immisce dans le cœur et s'imprègne dans mon être tout entier. Un sentiment méphitique me pousse à franchir le pas, j'ouvre la porte. Sans est finit, c'est trop tard. Cette envie pullule, elle grouille, foisonne, s'étant, maintenant elle m'envahit. Ma tête se vide, je ne sais pas pourquoi je le fais mais je sais que c'est un devoir. C'est comme ci cette enveloppe devait se farcir puis se vider. En somme je ne suis que la carcasse de besoins corrosifs qui s'approprient mon esprit. Je ne l'aime pas, mais nous copulons souvent et j'ai finit par aimer ça je crois. Cette union est sacrée car voila plusieurs années que nous cohabitons ensemble. Enterrer sa présence me deviens de plus en plus illusoire... *

Oh étrange, les volets ouverts lors d'une quelconque veillée ont réussit à faire briller mon visage rechigné. Tout à coup il s'est dénoué de toutes préoccupations. Durant un court moment, mais un belle instant je me suis sentis bien. L'air putréfier a mué en un air candide. Un léger gout salé dans l'atmosphère m'a fait me transporter dans de vagues parages. L'oxygène d'ordinaire si étouffant a finit par me donner un élan de renaissance au court duquel d'inabondants beaux souvenirs ont refait surface... Il m'a comblé d'une gracieuse et agréable sensation, une sensation que j'aimerais de nouveau saluer. J'en ai pris haleine et je veux d'ores et déjà respirer pour rencontrer encore une fois cette furtive plénitude !
[C'est si singulier qu'une chose aussi insignifiante tel qu' humer l'air puisse m'enivrer à ce point. ]

Deviantart Stuntkid **